Découvrez les articles de presse en lien avec l’exposition « Monet/Rothko »
En collaboration avec l’Agence Solvit Communication
Charlie Hebdo : 15 juin 2022
La vibration Rothko. Par Yannick Haenel.
« Je les ai vus et n’en reviens pas : ma vie depuis dimanche est plus belle, plus fluide. La peinture nous métamorphose, elle influe sur notre psyché déboussolée – elle nous redonne la clarté, c’est-à-dire l’esprit ».
Exposition : « Monet/Rothko » rencontre au sommet à Giverny. Par Yves Jaeglé.
« Dès la première salle, on tombe en arrêt devant cet immense tableau rouge et noir, avec ces fameux rectangles luminescents de Rothko, et ce petit rectangle rose qu’on ne voit pas d’emblée, si délicat qu’un smartphone ne peut le capter ».
Monet et Rothko, un intense pas de deux à Giverny. Onze toiles orchestrent la résonance entre le maître de l’impressionnisme et la star de l’abstraction américaine. Par Emmanuelle Jardonnet
« Dans cette pénombre, un banc invite d’emblée à s’asseoir : plein phare sur les toiles, leurs échelles, compositions et folies de couleurs, au point qu’elles semblent rétroéclairées. L’effet attendu est une immersion, au plus près des vibrations qui émanent des œuvres. »
Monet/Rothko : la rencontre de deux géants au musée des impressionnismes Giverny. Par Antoine Vitek.
« L’exposition ne vous donnera pas de leçon d’histoire de l’art mais cherchera plutôt à vous surprendre et à vous émerveiller. Un parti pris dans la lignée de ce qu’énonçait Rothko, affirmant que « On ne peint pas pour les étudiants d’école d’art ou pour les historiens, mais pour des êtres humains. »
Monet/Rothko, la grande couleur. Par François Jeune
« La grande couleur vient au-devant de vous dans l’espace et vous attire par une sortie de l’abîme contraire à la perspective, et englobe ainsi votre corps dans un champ coloré. »
Claire Benardi, directrice du musée de l’Orangerie, et Cyrille Sciama, directeur du Musée des impressionnismes de Giverny, nous parlent de la permanence de Claude Monet dans les arts, modernes comme contemporains.
Quand Monet inspirait Rothko. Par Stéphanie Belpêche.
« Tous les deux avaient coutume de s’arrêter pour réfléchir en plein travail. Leur exigence se traduit dans l’architecture de leurs compositions. Quand Monet joue sur les courbes, Rothko préfère les motifs géométriques et les lignes. »
Annette Messager au LaM, Monet et Rothko à Giverny, le dictionnaire amoureux de l’Ukraine… Nos 5 incontournables culturels. Par Lætitia Cénac.
« L’exposition dévoile ainsi des similitudes à près d’un demi-siècle d’écart entre leurs recherches et leurs univers picturaux : l’immédiateté des impressions face à la nature de Monet et la profondeur des couleurs superposées de Rothko. »
Cyrille Sciama, le conservateur, veut faire dialoguer l’impressionniste français avec l’Américain, peintre des émotions. Par Gilles Martin-Chauffier.
« On ne raconte pas une exposition salle par salle. Autant décrire un arc-en-ciel à un aveugle. Mais celle-ci est un prodige d’habileté. On voit l’art franchir l’Atlantique. »
Rothko face à l’« impressionnisme abstrait » de Monet. Par Itzhak Goldberg.
« Le Musée de Giverny offre un dialogue entre l’abstraction du peintre new-yorkais de l’après-guerre et la dernière période du fondateur phare de l’impressionnisme. »
Monet face à Rothko à Giverny. Par Virginie Chuimer-Layen
« Jamais autant de tableaux de Mark Rothko, grande figure de l’abstraction américaine, n’avaient été présentés en France, depuis l’exposition qui lui a été consacrée, en 1999, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris. »
Rothko face à Monet à Giverny : un dialogue entre modernité et spiritualité. Par Stéphane Lambert.
« Peintres de l’immatériel, les géants Monet et Rothko se rencontrent enfin au musée des Impressionnismes de Giverny. À l’endroit même où le maître des Nymphéas avait attiré dans son sillage nombre de peintres américains en quête de modernité. Un face à face inédit. »